Mr. Mercedes
Adapté de la trilogie de Bill Hodges de Stephen King. Saison 1 : Bill Hodges, un flic à la retraite, est mis au défi par un criminel de reprendre une vieille affaire non résolue qui l'a toujours tracassé : un chauffard au volant d'une Mercedes volée avait causé un massacre, deux ans plus tôt, en tuant ...
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Terminée | Américaine | 50 minutes |
Thriller, Epouvante-Horreur, Horror, Mystery, Science-Fiction, Crime | Audience Network, Audience | 2017 |
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3.01 - Comme dans un roman policier
No Good Deed
Le meurtre du célèbre auteur local John Rothstein bouleverse Hodges. Lou va être jugée pour le meurtre de Brady Hartsfield. Le lycéen Peter Saubers fait une découverte accablante.
Diffusion originale : 10 septembre 2019
Diffusion française :
10 septembre 2019
Réalisat.eur.rice.s :
Jack Bender
Scénariste.s :
David E. Kelley
Guest.s :
Je suis très sceptique après ce premier épisode. Certes une bonne adaptation n'est pas forcément une adaptation à la lettre (d'ailleurs c'est souvent plutôt l'inverse) mais parfois quand on s'écarte trop on prend le risque du hors-sujet; et j'ai tellement aimé le livre "Carnets noirs" que j'ai du mal à voir la série s'écarter autant du sujet. C'est dommage car j'aurais vraiment aimé voir une belle adaptation de ce livre qui est un des meilleurs de Stephen King.
Reste qu'en dehors de l'aspect adaptation (qui est donc complètement raté pour ce début de saison, et sûrement pour la saison entière), on a quand même une série efficace, qui mue au fil des saisons et reste toujours intéressante à suivre. Si pour moi la première saison reste la plus réussie car intéressante en terme d'adaptation et en tant que série autonome, on a quand même ici quelque chose de très bon à suivre. La série met quand même l'accent sur les aspects les plus malsains de l'oeuvre de King (non, ils ne sont pas si nombreux qu'on le pense) et elle est donc efficace à créer un certain malaise qui est souvent difficile à créer sans tomber dans le grotesque. On est clairement devant quelque chose qui n'est pas "tout public". Et j'y vais donc de ma petite phrase qui devient hatibuelle ; c'est tellement rare, de nos jours!